Au lendemain de la Première Guerre mondiale, le général William Mitchell se bat pour convaincre ses supérieurs de l’importance de l’arme aérienne. Lors de la Seconde Guerre mondiale, les Américains vont utiliser le désormais légendaire B-17 Fortress, véritable colonne vertébrale de leur puissance aérienne, puis le B-24 Liberator, plus rapide mais moins résistant que son prédécesseur. La guerre froide qui s’installe ensuite pousse les ingénieurs américains à améliorer constamment les bombardiers.