En 2016, une étude publiée par le World Economic Forum (WEF) de Davos mettait en lumière qu’ «en moyenne, d’ici 2020, plus d’un tiers des compétences principales requises dans la plupart des professions ne sont pas encore considérées comme essentielles au travail aujourd’hui. »

Avec la mutation profonde des organisations et des métiers, avec l’avènement du digital et de l’intelligence artificielle, les compétences techniques – ou hard skills – se périment dorénavant très vite et ne suffisent plus.
Il s’agit alors de miser sur l’humain. C’est pourquoi les soft skills – ou compétences comportementales – considérées auparavant comme des atouts sont aujourd’hui primées par les organisations. Leur durée de vie illimitée en fait le parfait outil pour évoluer dans un monde complexe en perpétuel mouvement.

Hard skills dépassées, faut-il tout miser sur les soft skills ? Seraient-elles aujourd’hui l’un des moteurs de la transformation et de la performance des organisations et des Hommes ?