En 2012, le couple Lieber, Nancy et Bruno, mène depuis 10 ans une vie heureuse dans un petit village de Wallonie, avec leurs trois enfants.
Mais quelques années plus tard, sur un coup de tête, Nancy quitte son mari qui commence alors à fréquenter une autre femme. Lorsque Nancy l’apprend, elle revient au domicile conjugal. Pour justifier son retour, elle fait croire qu’elle est enceinte.
Un mensonge. Elle est revenue pour supprimer son mari.
Et elle ne sera confondue que grâce à la sœur de Bruno qui lui a tendu un piège téléphonique. Une conversation enregistrée que nous avons récupérée qui poussera la police à ouvrir une enquête et à se rendre compte de l’affaire
Nancy a en fait commencé à l’empoisonner à la mort aux rats, tout en faisant croire qu’il souffrait d’un cancer en phase terminale.
Il finit par succomber en mars 2015, après des mois de souffrance.
La sœur de Bruno et les habitants du village sont très suspicieux : l’attitude de Nancy est de plus en plus étrange. La veuve semble vouloir se débarrasser au plus vite des affaires de son mari et elle évoque déjà à ses voisins proches, comme Dylan Flaush, un mariage avec un autre homme.
L’obstination de la sœur de la victime paiera : Nancy a été mise en examen pour assassinat.
Nous serons avec Guy Close et Pierre Neys, les anciens collègues pompiers de Bruno, qui était pompier volontaire dans le village de Stavelot. Ils nous raconteront la personnalité de leur ex-collègue, très impliqué dans la caserne, mais aussi soupe au lait et parfois caractériel.
Nous rencontrerons les avocats de la sœur de Bruno Lieber, ainsi que Christine Wilwerth, la procureure du Roi de Verviers en charge de l’affaire.
Philippe Hantson, un toxicologue chef de service à l’hôpital de Saint Claude de Bruxelles nous expliquera en détail les effets du poison utilisé dans cette affaire, et comment il a pu être administré en toute discrétion durant 2 années.
Nous récupérerons le témoignage du jeune voisin, Dylan Flaush, sur l’attitude de la veuve, un peu trop joyeuse.