Véronique s’est toujours sentie différente et cela lui a posé de nombreux problèmes, notamment pendant l’enfance. Pendant longtemps, comme de nombreuses femmes autistes, elle est toutefois passée inaperçue, au prix d’une « suradaptation » très coûteuse. Ce « diagnostic » même tardif lui a permis de mieux comprendre et gérer son décalage.