Selon les spécialistes de la spécialité, c’est la pire musique jamais composée : de la chanson traditionnelle, une pointe de techno méga-agressive et pour l’incarner des filles moitié chair moitié plastique équipées de bonnets non répertoriées… Le turbofolk, c’est son nom, est sponsorisé par la mafia locale et c’est un énorme carton en Serbie.