À Londres s’est tenue une version altermondialiste du Mondial où figurent non pas les grandes puissances, mais des peuples sans Etat et des équipes amateurs aussi exotiques que celles de Cascadie, de Padanie, du Tibet ou encore de Kabylie. Ici, pas de joueurs millionnaires ni de sponsors à 8 zéros mais des indépendantistes, des autonomistes et des minorités qui profitent du ballon rond pour se faire entendre. La finale de cette 3ème édition de la coupe de la CONIFA s’est tenue début juin. Un documentaire de L’Effet Papillon