En août 2017, les conservateurs de Versailles sont surpris de constater la mise en vente d’un meuble chez un antiquaire versaillais, portant des marques du mobilier national.

Les enquêteurs de l’OCBC (Office central de lutte contre le trafic des biens culturels) remontent la piste jusqu’à un certain Hubert Astier, qui n’est autre que le président de l’établissement public de Versailles.

Le directeur du château de Versailles a cédé 18 pièces du monument historique à l’antiquaire, pour un total de 3.000 euros