8 mars 1971. Tandis que toute l’Amérique a les yeux rivés sur le combat Ali-Frazier, un petit groupe de citoyens s’introduit dans un bureau du FBI et dérobe plus de 1 000 documents classés secret-défense. À leur tête : William Davidon, prof de physique le jour, braqueur militant la nuit. Ce qu’ils révèlent déclenche l’un des plus grands scandales de surveillance de l’histoire des États-Unis : Cointelpro, un programme clandestin lancé par J. Edgar Hoover en 1956, chargé d’espionner, discréditer et anéantir toute voix dissidente.