Certains gitans sont ancrés dans la modernité, d’autres restent figés dans des coutumes ancestrales. Mais même les plus jeunes appliquent encore la loi de leur clan. Une loi non écrite qui régit leurs vies. Des tribunaux gitans règlent leurs différends. A la mort de l’un d’eux, toute fête est interdite. Ils brûlent la caravane des défunts pour préserver leurs âmes.

Un documentaire de Aymone de Chantérac