Dans la campagne genevoise, il n’y a pas un buisson, une haie ou un carré de vigne que José Vila ne connaisse comme sa poche. C’est dans ces biotopes, souvent coincés entre deux routes, qu’il passe le reste de ses journées, après son travail. Une manière d’être dehors, au cœur de la nature pour en photographier les merveilles. En sortent des images dont la beauté fragile et sensible rappellent ce que José ne sait que trop bien : ces biotopes sont menacés.