Les radios, les réseaux sociaux, campagnes d’affichage, et dans nos boîtes aux lettres, en décembre, les appels aux dons arrivent de tous les côtés. Les Suisses y répondent avec générosité: l’année dernière ils ont donné plus de 2 milliards de francs aux œuvre d’entraide. Mais comment savoir si ces dons aboutissent entre de bonnes mains et atteignent bien le but fixé ? Reportage auprès de la Zewo, une fondation qui labellise les organisations qui collectent des dons en Suisse.
Il existe de nombreux moyen de collecter des dons. Le bulletin de versement qui arrive par la poste reste le plus utilisé. Mais d’autres voies se sont ouvertes, comme le financement participatif, ou crowdfunding. Reportage au CSP-Vaud qui a fait appel à cet outil pour financer en partie l’ouverture d’une nouvelle boutique de seconde main à Renens dans le canton de Vaud.

Parmi toutes les belles causes qu’il faudrait soutenir, comment faire pour donner son argent de la manière la plus utile et la plus efficace possible ? Comment savoir si les petites structures que l’on voudrait aider sont sérieuses ? Linda Bourget en parle avec Valérie Gorin, directrice des programmes du Centre d’études humanitaires de l’Université de Genève.

On les appelle des dialogueuses ou des dialogueurs. On les trouve sur les places publiques, dans les halls de gare ou devant les commerces. Ils portent les logos de différentes organisations caritatives, mais n’en sont pas membres. Ce sont avant tout des professionnels de la collecte de dons, spécifiquement engagés pour ça, par des entreprises de collecte de fonds. Reportage.
Une entreprise privée qui gagne de l’argent en récoltant des dons pour le compte de bonnes œuvres, est-ce défendable ? Suite de la discussion avec Valérie Gorin. Linda Bourget aborde également le sujet des images utilisées par les organisations pour motiver les donateurs.