En 1953, 30% des coréens étaient illettrés. Aujourd’hui, 3 sur 4 suivent une formation supérieure. Mais avant d’en arriver là, il faut trimer. Les parents se saignent à blanc pour que leurs rejetons suivent des cours du soir, généralement de 15h à 23h, une école bis à part entière. Après reste encore à faire les devoirs. Les nuits sont courtes, les journées interminables, mais c’est le prix à payer, d’après les Coréens, pour réussir dans la vie.