Areva dans les années 2000 : le numéro 1 mondial du nucléaire, une fierté nationale, un fleuron de l’industrie française, le fer de lance de l’image de la France à l’étranger. Aujourd’hui, Areva est à l’agonie. Alors que le rachat par EDF de son activité réacteurs traîne, l’entreprise va être recapitalisée à hauteur de 5 milliards. C’est la plus grosse dette jamais payée par les contribuables depuis l’effondrement du Crédit Lyonnais, et ce n’est qu’un début… Les pertes frôleraient les 10 milliards d’euros. L’histoire finit mal aussi pour 6 000 salariés qui verront leur poste supprimé d’ici à 2017. Sans compter qu’aujourd’hui, la justice s’en mêle et soupçonne des opérations de corruption. Un documentaire de Pièce à conviction.