La guerre menée par les Etats-Unis et une coalition internationale à partir de 2003 en Irak était censée « démocratiser » le pays en faisant tomber le régime de Saddam Hussein.

Cette guerre dite préventive a été lancée un an et demi après les attentats du 11 septembre 2001 sur la base de mensonges américains à propos de l’existence d’armes de destruction massive et au nom de la « guerre contre le terrorisme », contre « l’axe du mal », chers à l’administration américaine, et au président George W. Bush, entouré de ses faucons néo-conservateurs. Quelles ont été les conséquences de cette guerre en Irak ? Quels effets observe-t-on aujourd’hui encore dans le pays ? Eléments de réponse avec Myriam Benraad, politologue et professeure en relations internationales à l’université Schiller à Paris, associée à l’institut de recherches et d’études sur les monde arabe et musulman (IREMAM), ainsi qu’avec Adel Bakawan, sociologue, fondateur et directeur du Centre français de recherche sur l’Irak (CFRI) et chercheur associé à l’Institut français des relations internationales (IFRI).

Disponible jusqu’au 16/03/2024