Des cellules solaires flexibles et mille fois plus fines que les cellules du commerce en silicium avec le même rendement : c’est la prouesse de deux chercheurs du CNRS qui ont mis au point un piège pour « capturer » la lumière. A la clé, des applications sur des objets mobiles qui pourraient changer notre quotidien, comme ils l’expliquent dans ce reportage diffusé avec Le Monde.