Tu vois ce moment où tu découvres un truc et tu te dis : « Ok, c’est bizarre… mais j’adore » ? C’est exactement ce que fait Labubu. Et crois-moi, il est sur le point de squatter ta vie pour de bon.
C’est quoi Labubu au juste ?
Un lapin mutant ? Une peluche maudite ? Un truc venu d’une dimension parallèle où les créatures les plus mignonnes ont un air méchant ? Oui. Et non. Labubu, c’est un ovni créatif. Il est né de l’esprit magique de Kasing Lung, un artiste hongkongais qu’on soupçonne secrètement d’avoir accès à d’autres plans de réalité.
Distribué par POP MART, la poupée Labubu fait partie de la série The Monsters. Mais il est devenu le boss final de toute la collection. Parce qu’il est mignon, mais chelou. Doux, mais punk. Et qu’il a cette tête qui déclenche une obsession silencieuse.
Pourquoi tout le monde pète un plomb dessus ?
Parce qu’il y a un Labubu pour chaque mood. Un Labubu de forêt, un Labubu intergalactique, un Labubu qui fait du ski, un Labubu avec des cornes, un Labubu de Noël, un Labubu qui dort (et te juge en silence). Chaque version est une mini-histoire. Un petit conte figé que tu peux mettre sur ton étagère, ton bureau ou dans ton sac.
Et surtout, parce que personne ne s’y attend. Tu montres ça à quelqu’un, il fronce les sourcils. Puis il fait : « hmmm… ouais c’est marrant. » Deux jours plus tard, il en veut un. C’est comme un virus trop stylé.
« J’ai commandé mon premier Labubu en me disant que c’était pour décorer. Maintenant j’ai un coin entier chez moi qu’on appelle le « shrine ». »
En France, c’est l’explosion
Labubu est arrivé discrètement, comme un bruit de fond. Puis il a tout retourné. Des stories Insta aux décos d’intérieur ultra stylées, il est partout. Il s’invite dans les shootings de mode, sur les bureaux de freelances fatigués, dans les bibliothèques des collectionneurs d’art toys. Il ne prend pas de place, mais il pose une ambiance.
Et tu sais quoi ? Il n’a pas besoin de parler. Sa petite bouille moqueuse fait le taff.
Ce n’est pas un doudou. C’est un manifeste.
Labubu, c’est un « je t’emmerde » doux. Une réplique silencieuse à un monde trop lisse. C’est du design pop avec un twist émotionnel. Ce n’est pas un jouet pour enfants, c’est une pièce pour adultes qui savent encore rêver. Il te regarde, tu le regardes… et vous savez tous les deux que vous êtes liés pour la vie.
Oui, tu vas finir par en vouloir un.
Et on te jugera pas. On a tous cédé. C’est comme la première gorgée de bubble tea : tu crois que c’est chelou, puis tu déclare que c’est la meilleure chose que t’as testée cette année.
La suite ? C’est toi qui l’écris
Labubu n’est pas qu’un objet. C’est une entrée dans un monde à part. Celui des âmes douces mais étranges. Celui des gens qui ont du style sans copier. Celui de ceux qui veulent un peu plus de magie, mais sans paillettes.
Alors ouais. Tu peux continuer à faire semblant que tu t’en fous. Mais dès que tu croiseras ce regard mi-tendre mi-sarcastique… c’est fini pour toi.
Trop tard. Tu es Labubisé.