Un tiers des attaques cérébrales affecte notre faculté de parler; et ce n’est qu’un accident parmi d’autres pouvant provoquer l’aphasie. Perdre ainsi subitement les mots est également un choc psychologique pour les proches. Pareil quand le langage ne se met pas correctement en place chez l’enfant. On parle alors de dysphasie. Les fascinantes capacités d’adaptation du cerveau ouvrent cependant aujourd’hui de nouvelles portes thérapeutiques.