Des documents inédits de la justice britannique obtenus par Enquête montrent que le géant du transport Alstom a utilisé le Canada pour camoufler une importante opération de corruption et de blanchiment d’argent. Un homme d’affaires du Québec, qui a joué un rôle central dans ce complot pour verser des pots-de-vin à l’entourage du dictateur tunisien, n’a pourtant jamais été inquiété par la justice. Est-ce que le Canada en fait assez pour lutter contre la corruption internationale?