\r\nCercueils en carton, tombes dotées de QR codes… Etat des lieux d’un marché qui a bien changé et qui ne connaît pas la crise. On a beau vivre plus longtemps, la fin de l’histoire reste la même. Mais de quelle manière referme-t-on le livre, aujourd’hui? Si le secteur du funéraire peut se targuer de ne jamais connaître la crise (près de 2,5 milliards d’euros de chiffre d’affaires en France), il n’échappe pas à l’impérieuse nécessité de se renouveler. C’est qu’il y a concurrence, comme le rappelle en préambule ce documentaire. Depuis la loi Sueur de 1993, le marché – longtemps sous le monopole des Pompes funèbres générales – s’est libéralisé et l’on compte désormais quelque 3.000 agences de pompes funèbres dans l’Hexagone.