Ne s’identifiant pas à la montée du nationalisme, incapables de sentir le patchouli des hippies et allergiques aux envolées musicales ambitieuses d’Harmonium, de jeunes Québécois ont une révélation quand ils entendent la musique décapante des punks du Royaume-Uni et des États-Unis. De petits groupes anglophones et francophones, qui carburent aux guitares teigneuses et aux textes frondeurs, voient alors le jour.