Ce sont des figures du célèbre 36 quai des Orfèvres. Claude Cances a dirigé l’anti-gang avant de devenir le patron de la PJ Parisienne. Bernard Pasqualini est un ancien commissaire de la crim’. Durant leur carrière, ils ont traqué les plus redoutables gangsters, et arrêté de nombreux assassins. Ils plongent dans leurs souvenirs pour nous raconter deux grandes affaires qui ont marqué leur carrière. L’affaire Pesquet pour Claude Cances. Le gang des postiches pour Bernard Pasqualini. Pesquet le Landru du Val d’Oise. Juillet 1976. Claude Cances est appelé sur une affaire de triple meurtre à Neuilly. Un couple de septuagénaires et leur domestique ont été assassinés par balles à leur domicile. Leurs bijoux et lingots d’or ont été volés. En apparence, c’est un cambriolage qui a mal tourné. Mais le commissaire Claude Cances sent qu’il y a quelque chose d’étrange dans cette scène de crime. Et il trouve un indice important. La lettre d’un peintre en bâtiment, un certain Bernard Pesquet. Ce dernier confirme un rendez-vous le jour même à l’heure présumée du meurtre. Lorsque Claude Cances se retrouve face à ce suspect, il est glacé. Quarante ans après il s’en souvient encore. « J’ai vu le regard d’un tueur né ». Un documentaire d’Alexandra Colineau.