Quoi de plus banal qu’une porte cochère ou un pan de chalet? Antoine Guignard (alias LPVD’A, pour Les Pinceaux Verts d’Antoine) leur donne vie. Des regards intenses naissent de sa ponceuse-meuleuse. Il appelle ça le « Street-poncing ». De magnifiques visages, érodés par le temps ou illuminés d’innocence, d’émotion. La puissance des regards d’Antoine, ça en jette. Il a inventé un style, une technique et donne une nouvelle âme au bois. Un documentaire de Sabine Kennel pour Passe-moi les jumelles.