Le 12 août 2000, le «Koursk», le plus sophistiqué des sous-marins nucléaires russes, sombre dans le monde du silence avec ses 118 hommes d’équipage. Selon la version officielle, ce naufrage est dû à l’explosion d’une ancienne torpille. De sa construction, au sein du bureau d’études Rubin, à son renflouement spectaculaire en octobre 2001, retour sur le destin tragique de ce fleuron de la flotte russe.