En ce début du XVIIe siècle, deux théories cosmologiques s’opposent dans les milieux scientifiques : celle vieille de plus de 2000 ans et communément admise, le géocentrisme, qui place la Terre au centre de l’univers et sur lequel se sont fondés les grands monothéismes, et l’idée révolutionnaire développée par Nicolas Copernic, l’héliocentrisme, qui place, a contrario, le soleil au centre du monde