A Belleville, de nombreuses femmes chinoises sont clandestines et peinent à trouver du travail. Si certaines réussissent à subvenir à leurs besoins en cuisinant des spécialités asiatiques et en les revendant aux restaurants du quartier, d’autres n’ont pas d’autre choix que d’attendre le client sur les trottoirs. Des situations dramatiques, bien loin de ce que ces femmes s’imaginaient trouver en France.