A partir de 1891, la Nouvelle-Calédonie a vécu une vague d’immigration japonaise. Ces travailleurs venaient travailler dans les mines de Thio. A l’époque, l’industrie en pleine expansion a besoin de main d’oeuvre bon marché et abondante. Celle, gratuite, issue du bagne se tarit, alors la SLN fait appel successivement aux Chinois, aux Indiens, aux Vietnamiens puis aux Japonais.