C’est donc avec un semblant de chronologie et au rythme de la voix off non déplaisante d’Antoine De Caunes que l’on nous compte le parcours de ce trublion peu ordinaire, qui fort d’une facilité de plume hors norme, à mis, dans les années 80, la concurrence à des années lumière de distance. Un mini documentaire qui nous rappelle, s’il fallait le faire, que la bouffonnerie intellectuelle est bien morte avec Pierre Desproges.