Mai 2007. Nicolas Sarkozy accédait, enfin, à ce pourquoi il se battait depuis deux décades : la présidence de la République française. Selon les sondages, 65 % des Français lui faisaient confiance… Six ans plus tard, Franz-Olivier Giesbert se penche sur le rapport passionnel qu’entretient Nicolas Sarkozy avec les Français. Comment ce président –le plus populaire de la Ve République lors de son élection– a-t-il pu devenir en moins de cinq ans l’un des moins aimés ?\r\n\r\nDeuxième partie ici