En mai 1720, quand le bateau le «Grand-Saint-Antoine» arrive à Marseille, il est porteur d’un des plus grands fléaux : la peste. En quelques jours, la maladie se propage dans la ville. Pourtant les autorités de la ville avait tous les moyens de se prémunir d’une épidémie. Près de trois cents ans après, grâce à des documents d’archives accablants, les dessous d’un drame, qui décima la moitié de la population marseillaise, sont dévoilés.