Quand l’industrie pharmaceutique néglige les maladies peu rentables, les chercheurs indépendants peinent à développer de nouveaux médicaments. Exemple avec une molécule contre la tuberculose développée à l’EPFL. L’industrie pharmaceutique privilégie le développement des traitements les plus lucratifs. Dans un contexte où les coûts de la recherche ne cessent d’augmenter, les chercheurs indépendants qui s’intéressent aux maladies négligées ont de plus en plus de mal à obtenir un soutien financier. Ils se retrouvent dans ce qu’on appelle la « vallée de la mort », une période à haut risque où une molécule prometteuse peut finir aux oubliettes, faute d’intérêt des big pharmas. Exemple avec une molécule contre la tuberculose développée à l’EPFL. Un documentaire de 36.9°