\r\nAvec quelque 540 000 décès en France chaque année et un chiffre d’affaires de 5 milliards d’euros, le marché du funéraire se porte bien. Mais comment concilier activité commerciale et deuil ? Et quelles stratégies adopter face à la concurrence ? Enquête sur un secteur méconnu et en pleine mutation avec les exemples de l’entreprise OGF ou celle, plus modeste, d’AB Crémation, à Nîmes. OGF est une société leader sur ce marché. Elle emploie près de 6000 personnes et possède la plus importante usine de cercueils d’Europe. On y fabrique 400 unités chaque jour.