C’était le 30 décembre dernier, Carlos Ghosn trouvait refuge au Liban après sa fuite du Japon. Un mois plus tard, la stupéfaction est passée mais le patron de Renault-Nissan refuse toujours de lever le voile sur les conditions de cette fuite rocambolesque. De Tokyo à Osaka, d’Istanbul à Beyrouth, nos équipes ont mené l’enquête.