Cambrioleur dès l’âge de 10 ans, adolescent aux aspirations de bandit, fasciné par les armes, Gilmore passe la majeure partie de sa vie d’adulte en prison pour attaques à main armée. Moins de 24 heures après avoir perpétré son premier meurtre, il en commet un second. Sans aucun véritable mobile, Gilmore croyait être possédé par « l’esprit du mal ». C’était un criminel sans pitié, au tempérament colérique et violent. Jugé coupable sans circonstance atténuante, il sera condamné à mort et mènera un combat pour le droit de mourir sans délai. Il sera fusillé le 17 janvier 1977.