Aux Etats-Unis, « une épidémie silencieuse » frappe les joueurs de football américain. Ces gladiateurs des Temps Modernes encaissent sur le terrain des chocs à répétition, destructeurs pour le cerveau. Un coup reçu à la tête peut atteindre la puissance d’une voiture qui s’élance à 50km/h dans un mur de briques. On l’aura compris, il est impossible de conserver un cerveau sain en jouant au football américain, a fortiori en Ligue Pro. Alors, que fait la Ligue justement, qui génère près de 11 milliards de chiffre d’affaire par an, pour les victimes et limiter les risques ? Un documentaire de l’Effet Papillon